Chers amis, vous pouvez y aller !!
Les lettres lauréates sont désormais en ligne ICI !
Bonne lecture.
le blog d'anne des ocreries - pour parler de tout et de rien, raconter mes petites histoires, rompre un certain isolement social, râler tranquillement, aérer un peu mon narcissisme (c'est tendance) et échanger points de vue, parlotes et papotages...si vous voulez !
Ouf!
RépondreSupprimerje ne m'attendais pas à cette lettre et je suis ravie que tu l'aies écrite, c'est tellement puissant de l'avoir fait, un acte de courage de partager ta souffrance, de solidarité à notre égard parce qu'elle nous affranchit d'une part de vérité qui nous échappera toujours....celle de l'Autre,
"C’est vous qui, en jouant de moi comme d’un pantin, m’avez, en me dépossédant de mon humanité, montré qu’elle était toujours à conquérir et à défendre, et la chose la plus précieuse qui soit."
Merci pour tes mots d'or , noir, anne, il sont un merveilleux carburant pour l'intelligence et la générosité,
Merci pour ta lettre arme, anne, comme Armand Gatti tu donnes au verbe un pouvoir qui est celui de rendre la voix à ceux que l'on baillonne,
"Ce jour-là, en m’asservissant, vous m’avez entrouvert les portes de ma future liberté, et vous étiez loin de vous en douter."
Merci d'être ce que tu es et de nous écrire encore longtemps avec le sang de ton amour et le souffle de ta liberté
Merci, Dom ; je regrette juste de ne pas avoir pu lui jeter tout ça à la face, en direct live. Mais après tout, le différé, c'est pas mal non plus. Voilà, c'est bon pour le passé maintenant ce truc là.
RépondreSupprimerPercutante, tu t'en doutes! C'est bien de l'avoir écrite, cette lettre est pleine de mordant et de sensible...
RépondreSupprimerTe souviens-tu soeur Anne de notre rencontre?
Je t'embrasse fort, et encore merci pour tes mots.
Blue
"Qui se ressemble, s'assemble", Blue, et un jour nous traverserons l'écran, c'est sûr. :)
RépondreSupprimerJe t'embrasse,♥.
Magnifique et bravo!
RépondreSupprimerBelle transformation! faire d'un drame une victoire, je te reconnais là tout à fait...
Ecris, Anne, écris encore...
Pomme
Merci, Pomme ! Je ne vais pas me gêner ! héhéhéhéééé..........:)
RépondreSupprimerQuelle puissance dans tes mots, j'en ai encore le souffle coupé de les avoir lus. Naturellement, le style est à la hauteur du contenu alors vraiment bravo. J'irai jusqu'à dire que c'est la meilleure des cinq lettres.
RépondreSupprimerL'oiseau
Tu es tellement toi dans cette lettre. C'est si fort, si juste. Et si porteur d'espoir surtout.
RépondreSupprimerDe l'ombre surgit la lumière.
Je t'embrasse,
Framboise
Merci, Framboise ! Je me suis régalée à "lui" écrire ça, crois-moi !
RépondreSupprimer@ Bluebird : Moi, j'ai beaucoup aimé celle de Marie-Ange. En fait, elles m'ont toutes plu. Chacune a sa force propre qui la rend attachante.
RépondreSupprimerAaah!Là,...là tu me réjouis Anne. Il y a longtemps que j'ai lu un tel papier sur les rapports du pouvoir sous toutes ses formes; plus abjecte, celui qui est à la source de ta souffrance et de ta réflexion,dans un second temps, mais il y a tout le reste que tu décris avec tant et tant de réalisme. Cette douleur infligée à tous les jours, tantôt p.c.q'elles sont filles, femmes, autres situations hommes et femmes sans discernement et bien cette douleur c'est toute l'humanité qui en souffre.
RépondreSupprimerAnne, en bien peu de mots tu as fait grandir celle-ci en l'aidant à se relever un peu plus.
Merci et bravo encore.
Merci, MakesmewonderHum ! Je suis toute confuse, vraiment, heureuse d'avoir fini par voir clair dans ce qui était dit derrière ce qui m'est arrivé. Car au delà du simple vécu désagréable (tu m'étonnes !), il y a toute une vérité occultée, dont la prise de conscience est nécessaire pour pouvoir s'affranchir des rêts pernicieux de la soumission consentie. C'est de tout ça qu'on joue pour nous opprimer. Les peurs, la force, et le "tri" opéré par certains en catégories de gens de différentes "valeurs", et l'organisation hiérarchisées des sociétés d'arrogants petits coqs. Si ça sert à ce que les autres y voient plus clair, tant mieux ! J'aurais pas vécu ça en vain. "Faut payer pour apprendre", paraît-il, il y a des savoirs qui coûtent cher - ou chair, dirais-je, mais ça en valait le coup, finalement. J'auras pu passer ma vie à chialer sur les faits, j'ai réussi à penser leur sens pour mieux en remonter, et je suis bien contente.
RépondreSupprimerL'être humain vit debout, autant lui tendre un point d'appui. :)
Bravo ! tout d'abord. Tu as gagné ! de toutes les manières possibles. D'abord, ton talent a été reconnu. Ensuite, tu as délivré un message, en te délivrant d'un fardeau... en tout cas tu l'as mis en lumière. Enfin, la publication est symboliquement une catharsis. Les chemins vont pouvoir s'ouvrir à toi maintenant. Une nouvelle ère... commence. Bon voyage !
RépondreSupprimerMerci, Lucia ! Oui, tu as raison, de toutres les manières possibles.....J'en avais déjà parlé sur ce blog, un article appelé "la genèse de Bernard". Mais je parlais DE lui, là j'ai parlé A lui, et c'est bien la première fois, en fait. ça change tout ! :)
RépondreSupprimerFélicitations ! Superbe texte !
RépondreSupprimerMerci 'Tsuki ! Les autres m'ont beaucoup plu aussi, j'espère qu'ils ont reçu l'attention qu'ils méritent !
RépondreSupprimerQue puis-je ajouter à tous ces beaux
RépondreSupprimercommentaires sinon que c'est
une très belle lettre.
Courageuse,forte,mais surtout
résiliente devant l'épreuve.
Ta lettre et celle de Marie-Ange
sont mes préférées,tant pour l'émotion
ressentie que pour leurs qualités
littéraires indéniables à mon avis.
Merci Anne.
Merci beaucoup, Yvan ! Moi aussi, j'ai un faible pour la lettre de Marie-Ange, et je pense que c'est à elle que j'aurais mis une étoile.
RépondreSupprimerJ'aurais mis deux étoiles.
RépondreSupprimerUne à toi et une pour Marie-Ange.
Me demande bien si elle est non-voyante
ou bien si elle a imaginé sa lettre.
De toute façon les concours
et leurs attributions de prix
m'échapperont toujours.
:)
Je ressens que oui, elle l'est....mais peu importe, à la limite, sa lettre est réussie et c'est ce qui compte.
RépondreSupprimerCe concours, c'était mon tout premier, je l'ai fait parce que c'est Venise qui nous en parlait, et que le thème m'a fait bondir au plafond. C'était l'occasion rêvée, finalement, de lui régler son affaire, à ce drôle-là ! Voilà une bonne chose de faite. :))))
Tout à fait :-).
RépondreSupprimerVos deux lettres sont très réussies.
Bonne continuation.
Dès les premières lignes, je t'ai reconnue, j'ai reconnu ta colère, ta révolte mais aussi ton courage. Un immense bravo pour cette magnifique lettre, tellement forte. Well done!!
RépondreSupprimerMerci, la Mouette, je suis extrèmement touchée.
RépondreSupprimerC'est assez spécial d'apprendre ici que les lettres sortent enfin au grand jour (bais non, je ne le savais pas encore), ainsi que ton talent au grand jour , ainsi que les faits trop longtemps tenus dans l'obscurité des mémoires. Il en faut, et du talent d'être humain et du talent d'écrivaine pour rythmer une lettre, que les coeurs s'ouvrent et en soient touchés à ce point, parce que cela a été le cas, j'étais là, et c'était palpable.
RépondreSupprimerEuh ... bon, pour ce qui est de Marie-Ange, eh bien, elle était présente, et elle nous a bien eue, hein sans aide, je veux dire sans Wouf d'aucune sorte, elle s'est rendu en avant, et elle voyant l'éblouissant du soleil autant que nous.
Oh ! Incroyable ! Elle a franchement un vrai talent, parce que j'y ai cru d'emblée, à sa cécité ! Oh dis donc, j'espère qu'elle ne s'arrêtera pas là, et qu'elle nous donnera un jour un vrai beau livre ! La coquine !!!! :)
RépondreSupprimerAnne, je découvre ta lettre aujourd’hui. Je savais bien qu’elle serait forte en émotions, elle l’est tellement ma belle. Elle résonne en moi par cette capacité de résilience de l’enfance que tu exprimes et que je clame haut et fort, tu l’as lu il y a quelques jours sur un sujet bien différent. Cette force là, il faut la savoir en soi, et il faut savoir la trouver dans un monde qui ferme trop vite les portes de ceux qui souffrent, en les enfermant dans leur souffrance, en les réduisant en victime, en refusant le droit à l’oubli, oubliant que leur vécu nourrira leur richesse. Bien sur que la vie est plus forte que les monstres, qu’ils aient une tête de diable ou une tête de crabe. Bien sur que l’on peut rire, jouir, rêver, construire, bercer, adoucir, nourrir, aimer, travailler, écrire, dire avec tous ces accrocs de la vie. Les raconter c’est aider tous ceux qui avancent douloureusement les pieds dans la gadoue et aussi tous ceux qui pensent qu’ils seront préservés des cailloux du chemin et qui semblent regarder tout ça comme de l’autre coté d’un miroir. J’ai cinq filles, nous parlons parfois de choses et d’autres, au détour d’une info, d’un drame, d’une amie qui pleure, je cherche toujours à les convaincre de cette capacité de vaincre, de surmonter, de cette capacité à se relever, à donner un bon coup de pied pour remonter du fond, même quand la vie cette vache t’enfonce encore la tête dans l’eau encore et encore, à peine la gorgée d’air reprise. Une manière de mettre des mots autour du rire de leur petite sœur.
RépondreSupprimerL’oubli c’est ça, vivre avec, construire malgré toutes les séquelles, une force, un talent, et finir par dire, quand on veut, quand on peut, où on peut et prouver qu’on tient debout, même cabossé, mieux que certains.
Merci pour cette lettre Anne et bravo pour ce prix.
Je reviendrai lire les autres lettres, plus tard.
Mille bravos, Anne. Cette lettre est d'une puissance qui force le respect. Témoigner plutôt que se taire, se construire avec ses blessures mêmes... Admiration !
RépondreSupprimer@ Lulu : Mille mercis à toi, Lulu, c'est en effet pas toujours facile, on est parfois si fatigué, de tout. Pourtant, la prochaine éclaircie....ah, faudrait pas rater ça, quand même ! :))
RépondreSupprimer@ Sophie : Merci, Sophie ; se relever, c'est la meilleure insulte qu'on puisse faire à un bourreau.