jeudi 27 septembre 2012

Bref racontar.



Dans ce monde ravagé, il ne restait plus que la Bête pour se montrer prospère. Les derniers humains erraient à l'aveuglette, tremblants, parmi les ruines. La Bête régnait. Elle était leur créature, et ils l'avaient fait naître sans s'en apercevoir, cellule après cellule, tendon après tendon, chair après chair, sans s'en apercevoir.


La Bête les avait détruits. Ils n'avaient rien vu venir, ils n'avaient pas senti son souffle étendre sur eux sa pestilence, ils n'avaient pas compris sa force grandissante. Son attaque fut sanglante, et fulgurante, et sans appel. Leur œuvre. Leur créature. Et maintenant ils rampaient dans l'Obscur, comme des vers tirés du limon. Leurs lamentations étaient désormais sans écho.

Le nom de la Bête était Chaos.

Et elle n'aurait jamais de maître.

54 commentaires:

  1. Bah! Y'a qu'à lui donner une bonne taloche pour que la Bête retourne dans sa niche pour mille ans.

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  2. ah dites-donc, les araignées ça vous met dans un drôle d'Etat...
    ;-)

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    1. Ben, J.J., tu me vouvoies maint'nant ??!! :)

      C'est pas les araignées, c'est que je me suis couchée à 2 h du mat' et que j'ai la tête dans l'seau, là..... :))

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  3. "-Suis-je bête, j'ai laissé la porte de la cage entre-ouverte."
    Pendant ce temps à l'autre bout de la planète...

    «La Bête les avait détruits. Ils n'avaient rien vu venir, ils n'avaient pas senti son souffle étendre sur eux sa pestilence...»

    Tu m'excuseras, avoir su, putain de merde :~}

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    1. Bon, bin c'est pas fin ! sors la winchester, maintenant, pis vise bien, hein ! sacripant ! :)

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  4. La bête immonde hors et dans nous...

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    1. c'est ça ; et il importe de la museler le plus vite possible.....

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  5. Franchement excellent ! Bravo, Anne.

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    1. Merci, Bird, précisons bien que somme toute il ne s'agit là que d'un.....bref racontar, n'est-ce pas. :)

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    1. ce n'est pas une Peste, c'est une Bête ; elle peut avoir n'importe quelle couleur....

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  7. Dis donc, Anne, je t'ai connue plus bucolique. Laisse passer l'orage. On sera plusieurs à s'occuper de la bête.
    Je t'embrasse bien amicalement.

    Roger

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  8. Brrrrr... Il me fait froid dans le dos, ce texte.... Très bien écrit, ceci dit !

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    1. Chic, j'ai réussi mon coup...:)
      Ce que je n'aimerais pas, c'est qu'il soit prophétique.....

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  9. comme, "à qui profite le crime, Watson ?"

    Quel est l'intérêt géo-politico-économique pour mettre à genoux le continent Européen?
    Déstabiliser la zone euro, mais à quelle fin ? je veux dire qu'il y a bien un intérêt si ce n'ets celui du profit ok, mais un intérêt stratégique politique, alors quid des américains ? enfin, bref, je n'ai pas le temps de potasser totu ça moi. Alors la bête féroce et le cahos, je l'entends gronder masi j'aimerai comprendre le POURQUOI FINAL ?

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    1. Y en a pas ; c'est inhérent à la nature humaine, c'est de tous les temps et de tous les lieux ; parfois, ça enfle, ça enfle, jusqu'au bain de sang que réclame la Bête ; elle a d'infinis soubresauts....je l'ai dit : au-delà d'un certain seuil, ça échappe au contrôle même de ceux qui croyaient maîtriser la situation, ça fait "réaction en chaîne", ça se développe grâce à la force d'inertie....ça dépasse toutes les prévisions, ça existe "en soi", comme une entité maléfique.....quand le but avéré des actions humaines, où que ce soit, est le profit, vient le moment où les mécanismes enclenchés ne sont plus gérables et débouchent à cette Bête. On a pu croire en 36, ça n'a pas empêché 39.....le même mécanisme. Les mêmes effets. Pas sous le même visage, car la Bête est protéiforme.

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  10. En même temps... Ils n'avaient qu'à pas l'appeler, s'ils ne voulaient pas être détruits par Elle.

    Si la Bête est une métaphore de la guerre, alors moi quand je regarde la façon dont les Occidentaux et les Musulmans se bouffent le nez, en ce moment... Elle ne peut qu'arriver, la Bête, pour mettre tout le monde d'accord (et reduire le nb d'êtres humains sur terre, parce que 7 milliards, c'est monstrueux... Plus monstrueux qu'une bête, à mon idée. Mais bon, c'est mon idée, et pas question pour moi d'obliger qui que ce soit à la partager).

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  11. Je fais le tour des blogs des auteurs participants au defifoto, parce que le thème de ce mois-ci c'est "porte-ouverte" ; j'ai pris pas mal de portes différentes, et à présent, j'ai un mal fou à choisir l'heureuse élue qui participera...

    Veux-tu me donner un petit coup de main en agrémentant tes préférées d'un commentaire ?

    http://lunedemaledaumon.blogspot.fr/search/label/Porte%20ouverte

    D'avance merci,

    Bon week-end !

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    1. d'accord 'Tsuki, j'irais voir ! bon week-end !

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    2. 'Tsuki, j'y suis allée, mais ne suis pas parvenue à laisser un commentaire, une fenêtre de pub s'affiche sans cesse, puis mon antivirus me signale la présence d'un logiciel malveillant sur cette page et ne me les ouvre pas ( le problème est apparemment sur le formulaire de commentaires).

      Je n'ai pas vu vraiment de portes ouvertes....mais ma préférée est cependant celle de la maison du 15ème siècle, qui j'espère deviendra vraiment médiathèque ! l'estaminet n'est pas mal non plus. :)

      bonne fin de semaine !

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  12. Merci pour ton effort, en tous les cas.

    Je fais un copier/collé de ton commentaire sur la porte que tu as choisie, avec un lien vers ton site.

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  13. Joli :-)
    Au Chaos fut opposé l'Ordre. De leur confrontation naquit l’Équilibre, fragile, tendu, mais tangible.
    s.h.

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    1. OH ! BRAVO, Seb ! Magnifique conclusion !!!!

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    2. C'est ainsi, Anne, je suis en phase de recherche d'équilibre ;-)
      Bizz
      s.

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  14. tu crois que la méchanceté est toujours gratuite ?

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    1. La plus grande partie du temps, oui ; ce n'est qu'un sous-ensemble de l'agressivité, et qui naît à mon avis dans les esprits pervers. La méchanceté touche à la cruauté, et au plaisir de causer du mal à autrui, soit physiquement, soit mentalement ; elle diffère, pour moi, de cette sorte d’agressivité qui peut provenir de la grande timidité, ou de la maladie, quand on ne contrôle pas les bons codes d'entrée en communication.

      La méchanceté, je la combats, l'agressivité, je la mouche (on ne laisse pas passer), mais elle ne vient pas forcément du même type de psychisme, donc j'ai plus d'indulgence - quand elle ne se transforme pas en méchanceté.

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    2. oui, la méchanceté n'est pas pareil que l'agressivité. c'est vrai. mais les choses qui font "mal" ne sont pas les mêmes pour tout le monde. car les individus sont psychiquement inégaux de par leur expérience, leur milieu culturel, ou leur composition. mais il y a aussi le monde, autour, et les questions que l'on peut se poser sur lui, et dont les réponses peuvent faire peur, parfois, soit à tord, soit à raison. mais le sentiment de peur peut entrainer la "paranoïa", mais la "paranoïa" peut être aussi le fruit d'un sentiment d'insécurité "réel", et que les autres ne voient pas...

      moi, je crois que la méchanceté peut être aussi une forme de déformation du regard porté sur elle par celui qui subit son agression.

      un "méchant" peut très bien devenir agressif parce qu'il a subit lui-même une forme de d'agression dont il tente de se libérer, aussi, parfois, en devenant violent, verbalement, ou physiquement.

      mais qu'appelles-tu un esprit pervers ?

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    3. et la timidité, je crois, provoque aussi parfois une sorte de masochisme. qui fait que l'agressivité que l'on subit n'a pas la force de se défendre. et plus on encaisse, plus le moindre détail devient insupportable en plus du reste. et alors on commence à se détester et à se traiter de lâche, parce qu'on souffre, et il y a alors la naissance de la haine, qui se greffe à la peur, peu à peu. et cette haine, si elle n'arrive pas à sortir, devient une maladie, à l'intérieur. et quand on se laisse manger par la haine, notre comportement et notre sensibilité en devient "malade". et cette haine, même quand on essaie de la garder dedans, transparait dans nos comportements ou nos idées, notre manière de nous exprimer. et le regard des autres change et nous dit que cette haine "sale" déborde et alors, on ne sait plus parler normalement, car on se sent étourdi, et à côté de ce que l'on peut dire, car le monde s'efface, ou devient comme parallèle à soi. et on se sent seul partout, et humilié par ce que l'on porte en soi, et l'on a peur que celà se voit, ou déborde. et alors, on peut devenir "agressif".

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    4. Pour l'esprit ""pervers", je prends la définition communément admise : "Dans le vocabulaire courant, le terme est utilisé pour désigner soit une déviation des instincts conduisant à des comportements immoraux et antisociaux, soit la transformation de sens subie par un discours (par exemple un message politique), soit la manipulation, l'abus et la cruauté. "

      On dira que celui qui est méchant par goût de l'être, et jubilation de faire du mal aux autres, celui-là est pervers.

      Pour le reste, tu t'expliques très bien, je trouve ; c'est vrai qu'en effet, on peut être méchant aussi quand on ne s'aime pas, qu'on ne s'estime pas, qu'on a peur des autres, qu'on ne sait pas entrer en communication avec eux, et cette souffrance de tout cela peut amener à de l'agressivité. Mais cela, les gens peuvent le reconnaître et le comprendre dans une personne, et c'est bien moins grave pour eux, que d'avoir à faire à un pervers. Quand l'ultra-timide est en "crise", on re-pose les limites en l'envoyant sur les roses, mais on ne lui tourne pas le dos pour ça, on lui fait juste savoir qu'il a débordé dans son comportement, et qu'on ne peut pas l'accepter, bien qu'on le comprenne. Une façon comme une autre, aussi, de l'aider à se "reprendre" ; si une personne ne sait pas où sont les limites dans une relation à autrui, comment peut-elle se situer, se "cadrer" ? Tout devient trop angoissant, sans limites, trop effrayant !

      On sait que la personne qu'on envoie balader souffre, que c'est de là que vient son agressivité, et on pose une limite qui veut dire "non, on ne communique pas comme ça".

      Mais quand la personne est de nouveau "en état" de parler normalement (je veux dire, de façon calme et cohérente) avec autrui, elle retrouve le dialogue avec les autres, bien sûr.

      Un super-hyper-extra-timide devrait garder présent à l'esprit qu'il n'est pas moins que les autres, et qu'il a la même valeur, et aussi, au lieu de se détester, ce qui le rend agressif, se dire qu'il a juste une "panne" de dialogue, de communication, et chercher un moyen moins agressif pour réparer sa "panne" que le "rentre-dedans" - les gens en face seraient moins enclins à l'envoyer balader, et lui serait renforcé dans son estime de soi et plus fort, aussi, mieux armé, pour entrer en communication avec les autres.

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    5. ben, la communication, au point ou j'en suis, avec toutes les conneries que j'ai pu dire ou faire, et les gens que j'ai blessés parce qu'ils me faisaient mal et pour leur dire aussi que je les aimais bien quand même, mais me sentais trop nul, ou trop bien pour eux, ou je sais pas. chuis narcissique et à la fois, anti-narcissique. je m'observe depuis tout gamin, comme si j'étais deux à l'intérieur. je sais très bien qu'on peut faire du mal, et je n'aime pas ça, mais c'est devenu une sorte de négation de moi, en fin de compte. c'est comme toi, et ce physique loin d'être un "canon de beauté". ça me ferait du mal de te trouver moche, physiquement, et ça handicaperait notre relation car je me sentirais tellement géné. et alors, quand j'aurais bu, ça ressortirait en : "t'as une gueule de sale sorcière tout juste bonne à bruler!", et ce serait très méchant de dire celà, mais est-ce que tu te donnerais la peine de te demander pourquoi je le dis vraiment ? et puis c'est ambigüe, le mal, aussi. et des fois j'ai l'impression que je suis allé trop loin pour en revenir...

      et pourtant, au début, ce n'était pas dutout celà que je voulais. la relativité s'efface, et on finirait presque par devenir "l'autre chose". aujourd'hui, si je m'écoutais, je ne dirai plus rien à plus personne. pi devant chaque blogue sur lequel je commente, j'ai l'impression de changer d'interface/personnalité. dans la vie, je suis un bègue mental. je trébuche sur mes pensées. elle sont comme "frigorifiées", ou alors, 15 minutes plus tard, je me sens malin et je bombe le torse, ou alors, 4 minutes plus tard, j'aimerais me planquer dans un trou de souris.

      adieu!

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    6. ça doit être très dur à vivre, tout ça ; très douloureux aussi ; ça n'est vraiment pas de chance, qu'une telle sorte d'organisation mentale t'ait été échue.

      Ici, là règle est simple : quand tu es en état de discuter "bien" avec les gens, comme là, on se cause ; quand c'est pas le cas, je vire et j'attends un "mieux" dans ton état ; quand tu vas trop loin, on te mouche, pis quand ça va mieux, on re-cause.

      En tout cas, je dirais que l'alcool n'est pas ton meilleur ami, c'est certain. C'est même l'un des ennemis sournois qui s'attachent à toi. Il t'a piégé, le salaud, son but est de t'isoler de tous pour te rendre encore plus malheureux, s'il le peut. Il ressemblait à un ami quand tu l'as rencontré, et c'est un bourreau, en fait.

      Je te souhaite des bas moins abyssaux et des hauts moins vertigineux, parce que quand tu échappes à tes ennemis, c'est très intéressant de discuter avec toi.

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    7. tu es bien gentille.

      ça me donne envie de faire des bisous dans ton gros pull de laine, avec mes cheveux, ce que tu dis là. avec toute ma pudeur fraternelle grossissant comme une tumeur en forme de goutte de nez amourigène propagandhiste du haut de mes vertèbres cerveletthiques...

      (aujour'hui, j'ai bue une bouteille entière de vodka sans péter les plombs. j'ai essayé d'écrire des conneries surréalistes imbibées de libido crade et de feux de guerres sanguinolantes, mais ça n'a pas vraiment marché. j'ai dû perdre le fil du contact créatif. pas grave. j'aimerais me marier avec une hippie gersoise de 25 ans et plus. avec la peau froide qui sentirait la pluie du dehors rempli d'air libre et de senteurs d'herbages, et à qui je ferais la soupe et nettoierais le parquet, et sarclerais le jardin pendant qu'elle bosserait dans le social, en ville, à 27 kilomètres de là, la journée :

      http://www.youtube.com/watch?v=UXKuxmp-H4A

      merci!

      adieu!

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    8. Le jardin, c'est une bonne idée, si tu peux en faire un petit carré, n'hésites pas, ça fait tellement de bien, à soi et à la terre ! et puis, manger des produits sortis de nos mains, quelle fierté, quel goût, quel bonheur ! faut pas cracher sur le bonheur, il ne mérite pas ça....:)

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    9. jp qui aime bien tes réponses19 novembre 2012 à 22:31

      ouais, mais des fois, le bonheur est mesquin.
      car il s'exhibe en ville sous la forme d'un couple de jeunes connars se faisant des bises pour la forme ostentatoire, et pour se montrer sur les bancs publics, alors que tu souffres de ta solitude sexuelle et sentimentale du fin fond de ton gouffre existentiel sans issu. et chuis d'accord pour pas cracher dessus, mébon, s'il se donnait au moins la peine de partager un temps...

      alors LE BONHEUR, hein!!

      en veilleuse aussi, parfois!

      ou alors, ça s'assume complètement!

      sinon, je retourne avec pépé :

      http://www.youtube.com/watch?v=nD6fFHjWuH0

      bise

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    10. D'ac, des fois, on connaît la frustration ; mais le bonheur, ce n'est pas qu'une satisfaction physique de quelques secondes d'apothéose extatique, ce n'est pas non plus l'état "amoureux"...le bonheur, c'est à chaque fois qu'on se sent bien et debout, c'est tous ces petits riens insignifiants qu'on croise dans une journée mais qui nous font aller bien : un sourire, quelque chose de beau, le plaisir de faire bien un truc qu'on aime faire....c'est tous ces petits riens qui aident à vivre, c'est toutes ces fois où ça se passe bien qu'il faut garder dans un coin pour servir de viatique aux moment merdouilleux....qui n'en passeront que mieux, du coup.

      Pas besoin d'être deux pour être heureux, pas besoin la biologie....se laisser aller au plaisir d'exister, recevoir du beau, du bon, et tâcher d'en offrir, comme on peut....en voilà une, forme de bonheur. Et gratos, en plus !

      bonne soirée !

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    11. oui, je sais bien tout ça. c'est juste que je m'ennuyais un peu, et que je voulais écrire quelques conneries nulasses et irraisonées, histoire de faire rire un âne mort, ou une vieille botte de foin oubliée dans un vieux parc à huitre népalais.

      adieu!

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    12. " conneries nullasses et irraisonnées" ? oh, je ne dirais pas ça du tout, moi....tu as de l'humour, en effet, et de l'esprit, aussi, et des trouvailles très poétiques, à l'occasion. Ne te mésestime pas !
      à + !

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  15. Hélas, l'être humain est incorrigible!
    Mais quand la bête aura tout dévasté, le phénix renaîtra de ses cendres et on repartira pour un tour!

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  16. Je remarque que le "vérifmots" sévit ici!
    C'est bien désagréable de devoir prouver qu'on n'est pas un robot. D'autant plus que ces captcha sont tellement illisibles qu'il faut s'y prendre à plusieurs reprises avant de valider son com!
    J'ai publié un billet expliquant comment virer ça et il se trouve ici

    ***
    Belle soirée et merci pour le partage****

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  17. Dans le passé, les pays et leur société étaient plus ou moins différents par leurs mœurs, leurs lois, leur éducations, leur culture, leur politique interne et externe etc., etc.... Ce qui me semble-t-il pouvait plus ou moins éviter une certaine contamination et on pouvait toujours voir ailleurs! Aujourd’hui, avec la mondialisation des mœurs, de la politique, de l'économie, de l'éducation, les extrémismes de touts bords etc. etc.., je dirais une uniformisation qui a atteint le monde, ce n'est pas l'ONU ce grand machin qui va nous empêcher la descente aux enfers et nous éloigner la peste. On s'est réjoui très vite de l'ouverture sur le monde...sans voir venir la bête sans la belle!

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    1. Oui, le formatage et la pensée unique font bien des ravages.....

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    2. la "pensée" unique n'est pas une "pensée", c'est juste un programme intégré dans l'inconscient collectif pendant la nuit, via les flux électro-magnétiques, et qui cherche à faire consommer les gens ou à les faire bosser ou servir de cobaye sans se poser de questions dans les hp, avec parfois comme ambition de créer des "êtres nouveau d'une autre race supérieure", quand ça s'en donne la peine. mais la plupart du temps, ça te laisse végéter dans ton destin prédestiné commandité par les sorciers à la con, qui malgré toute leur "science", ne restent que des phares ténuement trouables et un peu enrhubés sur les bords, face au vaste océan qui se meut, inamoviblement, du haut du ciel et de la pleine lune insensible aux lois du marché candidement vénal :

      http://www.youtube.com/watch?v=EpxQ5ZDDA6Y

      adieu et bise!!

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    3. Oui, je pense que tu as trouvé les mots justes, là-dessus.....ce n'est pas une pensée, et c'est bien un programme....

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    4. jipo lr gramme + honte ididégérée malgré la revendication17 novembre 2012 à 19:44

      yes :

      http://www.youtube.com/watch?v=EpxQ5ZDDA6Y



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  18. Trop drôle ma BelleduBerry au poitrail arachno agressé,
    j'ai lu ce texte avec le visuel de la photo du dessous, sans voir qu'il s'agissait de 2 posts,
    et tout en lisant pensais : cte ptit bête là le chaos, mé dis donc???
    la fan de Louise Bourgeois en moi sein surgeait

    l'humain engendre la bête caho(tis)tique et subit sa créature, voilà une philosophie de la vie on ne peut plus
    objective

    mais à relier les 2 posts (comme ton esprit l'a fait volontairement ou pas) la double lecture enrichit :
    la bête tombée voir le saint prenant son bain... cela ne serait il pas un petit peu christianotracté (par les cheveux mouillés) cette histoire ?
    mort alitée (dans sa baignoire) : il est urgent de prendre son temps...
    si l'on ne veut baigner dans les zoo risqués du doute

    ;D

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    1. Fiouuuuu ! * sifflement admiratif * - Bin t'es en forme dis donc, ma Dom !!!! J'adore le "christianotracté", elle est magnifique celle-ci. :D

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  19. http://www.youtube.com/watch?v=z5rRZdiu1UE&feature=related

    j'adhère à rien, mais j'aime ça.

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  20. ce morceau me fascine.
    j'ai toujours pas trouvée la réponse
    mais il me meut :

    http://www.youtube.com/watch?v=-g0MJFBds8Y

    adieu

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allez, dites-moi tout !