Bon, causons peu, mais causons bien.
A vue de nez, les deux premiers termes se ressemblent, y a même plein de gens qui les confondent.
Or, il y a une sacrée nuances de l'une aux autres.
On va commencer par les libertés plurielles, si vous le voulez bien. Celles qui se définissent le mieux, qui se comprennent le plus vite.
LES libertés, elles sont limitées, et encadrées par les Lois. Elles dépendent de nos capacités physiques, autant que du consensus social qui les définit, à une époque, un endroit, dans le milieu et l'environnement où nous évoluons.
Je suis, EN THEORIE, libre d'aller et de venir où je veux ; je dis en théorie, parce qu'assez vite mes pas sont freinés par la séparation de l'espace entre "domaine public" et "domaine privé" - j'ai le droit d'utiliser le domaine public, mais pas celui d'errer dans le jardin de ma voisine ; j'ai le droit d'entrer dans des domaines privés ouverts au public à des fins de négoces, du moment que j'y viens dépenser mon artiche, mon blé, mon pèze, mon fric, mon pognon, mes sous - ma sueur, quoi.
J'ai le droit de m'habiller comme je veux, EN THEORIE, car imaginez qu'une lubie me jette dans la rue en crinoline, par exemple, ou déguisée en "dame du lac" façon Excalibur....au mieux ça rigole dans mon dos, au pire on m'offre un séjour reposant dans une maison adéquate. Et me voici obligée de me vêtir comme il est admis qu'on le fasse, même si c'est moche ce qu'on m'impose de porter, même si ça ne me va pas, "puisque ça se fait" (oh purin !!!!!).
Et y en a plein d'autres, DES libertés ! sauf qu'elles ne sont, à la base, que THEORIQUES parce que la plupart d'entre elles se PAIENT.
Faut le savoir, les libertés plurielles, elles ne sont pas faites pour tout le monde. Elles sont faites pour ceux "qui ont de quoi", et on est prié de l'accepter, de s'y faire, de s'y résoudre, de se contenter de ce qu'on a ou de se débrouiller pour pouvoir se les offrir !
Les libertés plurielles, c'est de celles-ci qu'on est privé quand on vous flanque en taule. Sauf que quand on vous flanque en taule parce que ça vous a gavé de les voir toujours dans les mains des autres, ces libertés, et que vous avez pété un neurone et déraillé vers le "non permis", au finish vous ne perdez pas grand chose. Encore que ce pas grand-chose ne soit pas dénué d'épaisseur tout de même.
Je pense que vous avez compris en quoi consistent LES libertés.
Mais alors, LA liberté c'est quoi, dans le fond ?
C'est quelque chose qui me permet de me définir, une sorte de choix offert dans le domaine de l'essentiel.
J'ai appris (parce qu'on me l'a seriné assez longtemps) qu'il y a des choses qui se font et d'autres pas. Exemple : je ne puis pas disposer à mon gré de ce qui ne m'appartient pas (axiome). Si je respecte ce précepte, c'est "le bien" ; si je n'en tiens pas compte et vis suivant mes appêtits sans m'autoriser aucun frein, c'est "le mal". LA liberté, c'est ce choix qui m'est offert, d'orienter mes actes et mon existence entre ces deux pôles.
Simpliste à vue de nez, mais esayez pour voir. En tout cas vous comprenez aisément que LA liberté n'est pas aussi aisée à définir et percevoir que LES libertés, et qu'elle est loin d'être sans rapports avec "l'éthique" ou "la morale", deux notions que les gens mélangent sans cesse allègrement aussi, et qui comportent pourtant plus d'une nuance.
Je n'en dirais pas beaucoup plus, de crainte de patauger dans le marigot des notions floues.
Mais, et la licence ? Et bien, c'est une sorte de liberté plurielle qu'on s'octroie de soi-même, en dépit des lois, du consensus social ou de l'éthique et de la morale. On a pris LA liberté de SE rajouter UNE DES libertés, en général au détriment d'autrui, en s'arrogeant un privilège non décerné par le groupe social.
Se garer 5 minutes en double-file est une licence ; sécher les cours aussi ; fouiller en douce dans les poches de quelqu'un aussi....
Vous avez compris : la licence est une transgression, plus ou moins grave selon ses conséquences, à laquelle il vaut mieux avoir réfléchi profondément avant de s'y livrer. Car elle aura des conséquences.....
Tout ça pour dire quoi, finalement ? Eh bien, on va essorer le marronier, et glisser du côté des vacances, puisqu'il paraît que c'est l'été. EN THEORIE, j'y ai droit - sauf que comme je ne travaille pas, et qu'on les définit comme "une cessation momentanée d'activité" (définition très personnelle), elles ne me concernent donc pas. Il est admis que les seules qui en vaillent la peine nécessitent un déplacement épisodique vers des lieux d'agrément relativement tempérés, si possible ensoleillés, munis de dispositifs divers de distractions variées. Le hic, c'est qu'il faut s'y rendre (donc disposer d'un moyen de transport), s'y loger, et s'y nourrir - quitte à se passer des distractions onéreuses ; mais tout ça nécessite tout de même de disposer d'un peu de pognon.
Que je n'ai pas.
Alors c'est vraiment généreux d'octroyer un tas de droits théoriques aux gens, et de libertés virtuelles. Mais ça nous fait une belle jambe, à nous les "privés".
Je suis libre, entièrement libre d'apprendre à renoncer à ce qui me passe sous le nez, pour n'en pas trop souffrir ; libre de trouver des palliatifs et des consolations à mon manque d'horizons lointains, à tous ces ailleurs où je ne vais plus jamais.
Libre de faire une sagesse de ce que je subis....
Mais parfois, je me donnerais bien licence de balancer deux trois pavés dans quelques gueules de trop nantis, comme au bon vieux temps de la Commune.
Devinez donc pourquoi ?
Et bonnes vacances......
A vue de nez, les deux premiers termes se ressemblent, y a même plein de gens qui les confondent.
Or, il y a une sacrée nuances de l'une aux autres.
On va commencer par les libertés plurielles, si vous le voulez bien. Celles qui se définissent le mieux, qui se comprennent le plus vite.
LES libertés, elles sont limitées, et encadrées par les Lois. Elles dépendent de nos capacités physiques, autant que du consensus social qui les définit, à une époque, un endroit, dans le milieu et l'environnement où nous évoluons.
Je suis, EN THEORIE, libre d'aller et de venir où je veux ; je dis en théorie, parce qu'assez vite mes pas sont freinés par la séparation de l'espace entre "domaine public" et "domaine privé" - j'ai le droit d'utiliser le domaine public, mais pas celui d'errer dans le jardin de ma voisine ; j'ai le droit d'entrer dans des domaines privés ouverts au public à des fins de négoces, du moment que j'y viens dépenser mon artiche, mon blé, mon pèze, mon fric, mon pognon, mes sous - ma sueur, quoi.
J'ai le droit de m'habiller comme je veux, EN THEORIE, car imaginez qu'une lubie me jette dans la rue en crinoline, par exemple, ou déguisée en "dame du lac" façon Excalibur....au mieux ça rigole dans mon dos, au pire on m'offre un séjour reposant dans une maison adéquate. Et me voici obligée de me vêtir comme il est admis qu'on le fasse, même si c'est moche ce qu'on m'impose de porter, même si ça ne me va pas, "puisque ça se fait" (oh purin !!!!!).
Et y en a plein d'autres, DES libertés ! sauf qu'elles ne sont, à la base, que THEORIQUES parce que la plupart d'entre elles se PAIENT.
Faut le savoir, les libertés plurielles, elles ne sont pas faites pour tout le monde. Elles sont faites pour ceux "qui ont de quoi", et on est prié de l'accepter, de s'y faire, de s'y résoudre, de se contenter de ce qu'on a ou de se débrouiller pour pouvoir se les offrir !
Les libertés plurielles, c'est de celles-ci qu'on est privé quand on vous flanque en taule. Sauf que quand on vous flanque en taule parce que ça vous a gavé de les voir toujours dans les mains des autres, ces libertés, et que vous avez pété un neurone et déraillé vers le "non permis", au finish vous ne perdez pas grand chose. Encore que ce pas grand-chose ne soit pas dénué d'épaisseur tout de même.
Je pense que vous avez compris en quoi consistent LES libertés.
Mais alors, LA liberté c'est quoi, dans le fond ?
C'est quelque chose qui me permet de me définir, une sorte de choix offert dans le domaine de l'essentiel.
J'ai appris (parce qu'on me l'a seriné assez longtemps) qu'il y a des choses qui se font et d'autres pas. Exemple : je ne puis pas disposer à mon gré de ce qui ne m'appartient pas (axiome). Si je respecte ce précepte, c'est "le bien" ; si je n'en tiens pas compte et vis suivant mes appêtits sans m'autoriser aucun frein, c'est "le mal". LA liberté, c'est ce choix qui m'est offert, d'orienter mes actes et mon existence entre ces deux pôles.
Simpliste à vue de nez, mais esayez pour voir. En tout cas vous comprenez aisément que LA liberté n'est pas aussi aisée à définir et percevoir que LES libertés, et qu'elle est loin d'être sans rapports avec "l'éthique" ou "la morale", deux notions que les gens mélangent sans cesse allègrement aussi, et qui comportent pourtant plus d'une nuance.
Je n'en dirais pas beaucoup plus, de crainte de patauger dans le marigot des notions floues.
Mais, et la licence ? Et bien, c'est une sorte de liberté plurielle qu'on s'octroie de soi-même, en dépit des lois, du consensus social ou de l'éthique et de la morale. On a pris LA liberté de SE rajouter UNE DES libertés, en général au détriment d'autrui, en s'arrogeant un privilège non décerné par le groupe social.
Se garer 5 minutes en double-file est une licence ; sécher les cours aussi ; fouiller en douce dans les poches de quelqu'un aussi....
Vous avez compris : la licence est une transgression, plus ou moins grave selon ses conséquences, à laquelle il vaut mieux avoir réfléchi profondément avant de s'y livrer. Car elle aura des conséquences.....
Tout ça pour dire quoi, finalement ? Eh bien, on va essorer le marronier, et glisser du côté des vacances, puisqu'il paraît que c'est l'été. EN THEORIE, j'y ai droit - sauf que comme je ne travaille pas, et qu'on les définit comme "une cessation momentanée d'activité" (définition très personnelle), elles ne me concernent donc pas. Il est admis que les seules qui en vaillent la peine nécessitent un déplacement épisodique vers des lieux d'agrément relativement tempérés, si possible ensoleillés, munis de dispositifs divers de distractions variées. Le hic, c'est qu'il faut s'y rendre (donc disposer d'un moyen de transport), s'y loger, et s'y nourrir - quitte à se passer des distractions onéreuses ; mais tout ça nécessite tout de même de disposer d'un peu de pognon.
Que je n'ai pas.
Alors c'est vraiment généreux d'octroyer un tas de droits théoriques aux gens, et de libertés virtuelles. Mais ça nous fait une belle jambe, à nous les "privés".
Je suis libre, entièrement libre d'apprendre à renoncer à ce qui me passe sous le nez, pour n'en pas trop souffrir ; libre de trouver des palliatifs et des consolations à mon manque d'horizons lointains, à tous ces ailleurs où je ne vais plus jamais.
Libre de faire une sagesse de ce que je subis....
Mais parfois, je me donnerais bien licence de balancer deux trois pavés dans quelques gueules de trop nantis, comme au bon vieux temps de la Commune.
Devinez donc pourquoi ?
Et bonnes vacances......
Ah, et au fait.....demain soir, quand vous irez admirer "la belle bleue", "la belle rouge" et le bouquet final des spectacles pyrotechniques organisés pour le 14 Juillet, voulez-vous avoir s'il vous plaît la bonté de bien vouloir faire l'effort de tenter de vous rappeler ce que nous somme censés fêter, ce jour-là ?
Eh ! dis donc ! ça fume sérieusement par ici ! Il faudra que j'y revienne quand je serai plus "libre". Le temps libre sans argent, c'est quelque fois du temps vide. Et oui ! mais heureusement qu'il nous reste la liberté de penser. Et les voyages, les horizons lointains dans les livres et la poésie....
RépondreSupprimerOuais, j'ai piqué un coup de calcaire là, mais j'ai bien manqué me froisser un neurone ! déjà qu'y sont pas très solides....Oui, il existe des tas d'autres horizons, en effet ; mais quand je croise, en balade, toutes ces bagnoles encaravannées et ces campings-car à la tonne, dont chacun coûte au bas mot le prix de ma ferme, j'ai quand même comme un pincement.
RépondreSupprimerDes fois.
Mais surtout une furieuse envie de mordre.
Mais enfin, en quoi consiste la liberté d'aller se concentrer dans des camps, tous en même temps, de se goinfrer des heures de cul à cul avec des bagnoles qui sentent le fuel trop cuit, , pour jouer à la pétanque entre deux caravanes , picoler du pastis sur des tables de camping moches et participer le soir à l'élection de miss parasol...quand on a toute l'année des arbres de l'herbe, des animaux heureux, une maison pas bouygue.
RépondreSupprimerPas de pognon??? Si c'est pour faire ça qui bousille en plus la planète, ne regrettez rien, Anne, votre vie sans flouze vaut une fortune.
Quand on voit ce qu'ils en font ceux et celles qui ont l'artiche... en plus, ils s'emmerdent, ils s'assassinent ou se suicident, ils se botoxent, les bonnes femmes ressemblent à des mannequins de vitrine des années cinquante.
vous l'avez, le liberté, celle du loup, sans collier, vous avez le temps de voir votre chatte allaiter ses petits, d'écrire de belles choses, de penser bien...
Ah, ne me mettez pas en rogne...vous avez un amour, un homme sur qui vous appuyer, tout le monde n'a pas ça.
Votre fortune, Anne , ne se met pas à la banque; votre fortune, c'est vous, votre vie, même si parfois elle semble difficile. Dites-vous bien que vous êtes dans le vrai.
Et que le soleil, la mer... ça peut venir un jour, mais pas en juillet août au milieu des beaufs ordinaires...
PP
PS: au nombre des lubies vestimentaires, avez-vous pensé à Lady Godiva???
les longs cheveux, le cheval... non?
Oui, Pomme, vous avez tout à fait raison ! ce n'est surtout pas "cela" qui me fait envie !
RépondreSupprimerMais j'irais bien marcher une heure ou deux sur la plage, le soir...
J'irais bien rencontrer "en vrai" deux ou trois de mes amis virtuels, dont vous êtes.
J'irais bien faire un tour dans quelques coins de france où je n'ai jamais mis le pied, visiter mes amis qui sont loin (et pas internetisés), et qui me manquent....
Pour sûr que les terrains de campings et autres lieux de plaisir ne m'arrachent aucune larme !
Mais me dire "tiens, j'irais bien voir untel", et pouvoir le faire...ah ! funérailles !!!
Quant à lady Godiva....héhéhéhé.......!!!!
Mais sous la pleine lune ; comme ça personne ne voit....
Tout ça me fait un peu penser à une discussion philosophique que nous avons eue pas plus tard qu'hier soir.
RépondreSupprimerRemarque, j'aimerais bien te voir en crinoline...
Bisettes
L'oiseau
J'ai une toute autre idée de la liberté .
RépondreSupprimerLa liberté , c'est la non dépendance .
Le fumeur est il libre ?
L'alccolique est il libre ?
Devant une belle femme , l'homme est il libre intérieurement ?
On peut multiplier les exemples .
La vraie liberté , c'est de pouvoir choisir INTERIEUREMENT de faire ou de ne pas faire sans se sentir frustré .
L'Oiseau : ça m'irait à peu près comme un tablier à une vache, mon pauv'gars ! oui, ça rejoint ce dont nous parlions.
RépondreSupprimerJean : Voilà qui porte de l'eau à mon moulin ! j'approuve tout à fait cette définition-là.
belle déclinaison autour des libertés!
RépondreSupprimerrien dans les mains -tout dans la tête -allez circulez...disait ferré!
:-)
Merci, J.J ! Je l'espère, en tout cas.
RépondreSupprimerBien dit ;-)
RépondreSupprimerCe que l'on "fête", c'est une soi-disant révolution qui au fond, n'a peut-être pas changé grand-chose, en y regardant de près...
PS. Merci de ton passage chez moi.
Merci, Deef ! je fais des sauts épisodiques chez les uns et les autres because le temps-qui-bouffe, mais j'ai bien aimé ton "chez toi" !
RépondreSupprimerbienvenue dans le coin !
La liberté ? c'est arriver à ne pas dévier de ses convictions profondes, ne pas dévier de sa façon de penser, c'est arriver à rester soi, c'est ne pas se laisser aspirer, attirer par tout ce que l'on peut nous proposer, pour, soi-disant, être plus heureux...
RépondreSupprimerDouce nuit à toi, Anne. Bisous.
Intéressant point de vue, Françoise... je note au passage que la plupart des coms tournent autour de LA liberté, celle qui pose problème à trouver sens, celle qui en a un différent par personne !
RépondreSupprimerLES libertés ni la licence n'ont l'air de trouver preneur...amusant, nan ? :)
Bonne nuit, Françoise !
Mmmm : moi j'adore les libertés et la licence ! celles que je vole au hasard des rues, des saisons, selon les gens, selon les goûts.... Les libertés diverses et bariolées, nos petits plaisirs et pourquoi pas ceux qui ne coutent rien.
RépondreSupprimerLa licence, licencieux, audacieux, astucieux, judicieux, délicieux. Délicieusement licencieux malicieusement dévoyée du droit chemin (qui est souvent celui que nous impose ceux qui y trouvent leur intérêt)
Mmmmm....ah ah....? malicieusement dévoyée, Carole ? ;-)
RépondreSupprimerAh ! oui y faut ! question de survie par les temps qui courent !
RépondreSupprimerHA HA HA ! oué, "y faut" ! de quel droit le monde appartiendrait-il seulement aux pisse-vinaigre, hein ?
RépondreSupprimerHe ben, lâchage complet là!!!
RépondreSupprimerCa fait réflechir en tout cas, c'est le but je suppose! ;-)
Eh ouais la Mite, c'est bien le but ! Et alors, de se lâcher, ça fait un bien, mais un bieeeen !
RépondreSupprimerHou la la, quelle dissertation que voilà !
RépondreSupprimerbeaucoup à dire sur la liberté, ta réflexion me plait bien Anne, et j'aquiesce à ta façon de voir...
quand à moi, ma liberté, c'est de prendre mon petit camion, de partir tout droit, de photographier les gens dans un petit port de peche, ou bien de déposer un commentaire sur ce blog, oui...
alors bonne journée, à plus...
Merci le Pierrot, je te souhaite de bonnes prises de vue - ça existe encore ça,un petit port de pêche ?
RépondreSupprimer"La vraie liberté, c'est de pouvoir repousser très loin les limites de sa liberté."
RépondreSupprimerNicole Garcia
j'adhère à cette façon de voir la liberté et j'aime beaucoup cette femme.
bizz à toi !
Merci, Rénica, voilà une phrase à triturer....
RépondreSupprimerêtre libre et incapable de se libérer... quand je repense de temps à autre à mes jeunes années, je me rends compte que la liberté s'est mise en parenthèses dès que la "vie", (la vie en société ?) l'a absorbée... vivement le temps où il me sera "permis" à nouveau d'en être libéré...
RépondreSupprimerje sais... mais si ça te triture, crois mois moi aussi...!
;-Doume
Oui,cette sensation là je l'ai souvent aussi !
RépondreSupprimerAdo, je croyais que je serais "libre" une fois adulte - et une fois adulte, vu les contraintes, je me suis dit que mince, si la liberté c'est ça, qu'on me rende mes chaînes d'autrefois !
Supers Anne, ces reflexions!
RépondreSupprimerj'ai eu la même pensée que toi, en faisant le tour du balcon (3ième étage chez ma maman, vue sur les arbres)
et m'étirant le cou comme une autruche en quête d'horizon, le soir de la fêt'nat,
je me suis dis : merde! qui c'est qui se souvient qu'il s'agit de pas oublier les sans culottes qui se sont fait massacrer pour NOS libertés...d'être licenciés, licencés, ou les deux...
Bises
ps:
j'adhère à la conception d'Albert Jacquard:
"ma liberté commence où commence celle de l'autre"
Eh oui, Dom, y a pas grand monde pour se faire la réflexion que des tas de Bastilles restent encore à prendre....
RépondreSupprimerJ'aime bien la citation d'Albert Jacquard !
Y a de quoi creuser....!